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21 février 2009
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08:50
SILA S MARNER de George ELIOTEd Folio
Pages : 314
Trad (anglais) : Pierre Leyris
Format poche
Genre : littérature anglaise
Silas Marner est tisserand. Il est arrivé dans le village de Raveloe il y a des années mais est toujours
considéré comme un étranger par ses voisins. On lui prête des pouvoirs occultes , on le dit guérisseur et sa personnalité renfermée ne lui a jamais permis de se lier avec les autres. Mais, les
choses changent à partir du moment où il est victime d'un vol.
George Eliot fait partie de ces auteurs que je voulais lire depuis un moment et grâce à la petite chaîne organisée par Ys, c'est chose faite puisque Keisha a eu envie de nous faire lire cet auteur (qui est une dame en fait). Le début est un pur bonheur à lire, on est un peu plongé dans une atmosphère de petit village refermé sur lui-même avec ses personnalités locales très bien rendues. Puis on s'intéresse au personnage principal qui d'homme effacé et presque apathique se métamorphose en père adoptif exemplaire et vertueux. C'est le côté, la vertu récompensée à la fin et le mal puni qui me gêne un peu aux entournures, le petit côté moralisateur qui a un peu mal vieilli à mon sens. Mais si on garde à l'esprit le contexte dans lequel le roman a été écrit, ce n'est qu'un petit détail mineur, une convention littéraire de l'époque.
Donc un premier essai plutôt réussi dans l'ensemble qui va m'encourager à me pencher sur les autres productions littéraires de George Eliot.
George Eliot fait partie de ces auteurs que je voulais lire depuis un moment et grâce à la petite chaîne organisée par Ys, c'est chose faite puisque Keisha a eu envie de nous faire lire cet auteur (qui est une dame en fait). Le début est un pur bonheur à lire, on est un peu plongé dans une atmosphère de petit village refermé sur lui-même avec ses personnalités locales très bien rendues. Puis on s'intéresse au personnage principal qui d'homme effacé et presque apathique se métamorphose en père adoptif exemplaire et vertueux. C'est le côté, la vertu récompensée à la fin et le mal puni qui me gêne un peu aux entournures, le petit côté moralisateur qui a un peu mal vieilli à mon sens. Mais si on garde à l'esprit le contexte dans lequel le roman a été écrit, ce n'est qu'un petit détail mineur, une convention littéraire de l'époque.
Donc un premier essai plutôt réussi dans l'ensemble qui va m'encourager à me pencher sur les autres productions littéraires de George Eliot.
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