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A Propos De

  • : A Livre Ouvert...
  • : Des lectures en tout genres, des auteurs, des avis subjectifs totalement assumés, un prix chimérique, des challenges auxquels je ne peux résister, des swaps et pleins d'autres choses sympas. Il y a de tout dans ma bibliothèque. Bienvenue et bonne visite alivreouvert@hotmail.fr
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5 novembre 2012 1 05 /11 /novembre /2012 19:25

entêtecritdyinginthewool

 

Kate Shakleton est une veuve de la première guerre mondiale. Veuve par défaut, puisque son mari a mystérieusement disparu en plein conflit et n’a jamais été retrouvé. Ce drame l’a conduite à enquêter en amateur et retrouver des personnes disparues avec un certain talent. Mais voilà qu’une amie sur le point de se marier, veut l’engager à titre professionnel pour retrouver son père disparu depuis plusieurs années.

 

Alors sur cette idée de départ, c’était plutôt bien parti. Kate est une femme plutôt sympathique et son équipier Sykes aussi. Le mystère entourant le père de Tabitha est plutôt bien rendu. Et puis, le soufflé est retombé et j’avoue avoir eu du mal à trouver un intérêt à cette histoire en dehors du fait de vouloir savoir le fin mot de l’histoire. Encore que, une fois arrivé au bout de ces pages interminables, c’était pour découvrir que finalement ma solution était la bonne. L’auteur se disperse dans quelques retours dans le passé et divers points de vue. J’ignore encore pourquoi j’ai tenu à finir ce livre. Je dois être dans une période jusqu’au boutiste en lecture, mystère. En tout cas, ce ne fut pas vraiment une lecture agréable. Bref, passons à autre chose.   

 

note11

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 00:00

 

lansquenetLANSQUENET de Pierre COMBESCOT

Ed Grasset

Pages : 282

Grand format

Genre : Littérature française

 

 

 

 

 

Il est de ces livres que pour des raisons que la raison ignore, on lit jusqu’au bout tout en se demandant mais pourquoi je lis ce truc-là qui ne me fait ni chaud ni froid depuis le début alors que ma pile à lire déborde de livres tellement plus excitants.

 

Vous l’aurez compris, je me suis ennuyée ferme pendant la lecture de ce qui pourtant partait pas trop mal. En pleine débâcle allemande, Kuno Von Urslingen-Frundsberg tente de regagner la maison de son enfance et de retracer dans le même temps son arbre généalogique des plus compliqués vu les nombreux secrets de famille bien tordus qui le caractérise. Évidemment, j’avais deviné de quoi il retournait exactement et donc rien ne fut vraiment une surprise pour moi. D’autant que le personnage principal ne m’intéressait absolument pas ni même sa famille dysfonctionnelle au possible. Si j’ai continué c’est vaguement pour espérer un quelconque rebondissement, un personnage qui me ferait entrer enfin dans le récit. Et en fait rien du tout.

 

Tout ça pour pas grand chose.

 

note25

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 06:04

 

apollonius de tyrLE ROMAN D'APOLLONIUS DE TYR

Ed Le Livre de Poche

Pages : 285

Version bilingue (ancien français/français moderne) 

Format poche

Coll : Lettres gothiques

Genre : littérature médiévale

 

 

 

RL1220

 

La version proposée par cette édition de ce célèbre roman du moyen âge date du Xvème siècle.

 

 

 

Pour résumer : le prince Apollonius qui est paré de toutes les qualités de la chevalerie (il joute et joue de la harpe après une éducation pareille, on peut accéder à de hautes fonctions dans le gouvernement) est contraint à l'exil et à vivre une vie de dangers mortels pour avoir résolu l'énigme du roi Antiochus et donc dévoilé son scandaleux secret (papa Antiochus a des relations charnelles avec sa fille).

 

Bon autant le dire, je n'ai pas eu l'impression de lire une histoire palpitante avec des intrigues à couper le souffle. Les personnages sont assez plats et ce qui peut leur arriver au cours de l'histoire ne m'a pas passionnée outre mesure.

 

La seule chose un peu marrante dans l'histoire, c'est l'invraisemblable pureté d »une des héroïnes (la fille du héros et d'une princesse qu'il a épousé entre deux batailles) qui passera des mois dans une maison close sans perdre son pucelage et le fera savoir encore. Aujourd'hui ce genre de péripétie ne serait pas crédible une seule seconde.

 

note11

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 07:25

Nouvelles occitanes médiévalesNOUVELLES OCCITANES DU MOYEN AGE

Ed Garnier Flammarion

Pages :269

Bilingue : ancien français/français moderne : Jean Charles Huchet

Format poche

Genre : littérature médiévale

 

 

RL1220

 

 

 

 

 

 

 

Vrai bonne déception. Enfin, on ne peut pas toujours tomber sur de bonnes choses quand on pioche un peu au hasard de ses découvertes en bibliothèque. Alors qu'est ce que ce recueil là ? Un ensemble de textes en langue occitane du XIIIème siècle qui se situe entre la poésie lyrique et le roman en prose. En fait de nouvelles, nous avons deux bons textes plutôt longuets pour des nouvelles, et deux autres plus taillées dans ce format. L'ennui c'est que je n'y ai pas trouvé un grand intérêt.

 

Avril s'en allait et mai arrivait : En gros et pour résumer, près de 90 pages de verbiages sur..euh....sur quoi au fait ? C'est l'histoire d'un troubadour qui après avoir bourlingué de cour en cour finit par décrire au narrateur ce qui pour lui est la quintessence de la noblesse : à savoir un baron, un roi, un seigneur qui loue son art, le paie et le nourrit à sa table. Lui ou un autre de ses confrères d'ailleurs. Une sorte de revendication syndicale avant l'heure.

 

A l'époque où l'on était gai : cela commençait bien, façon roman courtois un chevalier épris d'une dame de haute naissance et bien entendue mariée. Il lui fait la cour, il voudrait aller plus loin et ces deux là se tournent autour et se lancent dans des discours fors alambiqués. Et comme visiblement, ils n'ont pas de vocabulaire, ils passent leurs temps à émailler leurs arguments avec des poèmes et des citations de poètes. En gros, l'auteur a voulu étalé son incroyable culture lyrique et je ne sais même plus comment ça se termine cette affaire là, tellement ces références parasitent tout le texte.

 

Le jaloux puni : bon alors là, il y a une histoire, une vraie intrigue et tout et tout. Moralité de l'histoire, les maris ne devraient pas s'en faire toute une montagne si leurs femmes vont voir ailleurs. A noter que c'est plutôt novateur cet encouragement à l'adultère de l'épouse quand on connait les réalités de l'époque, cela prête à sourire et à taxer l'auteur d'hypocrisie.

 

La nouvelle du perroquet : un perroquet se lance dans un discours sur l'amour avec lui-même. On tourne en rond pendant quelques pages, mais comme c'est la nouvelle la plus courte, le supplice est moindre.

 

Sans regret, ce livre part dans mes oubliettes, cela collera bien à l'ambiance moyenâgeuse du reste.

 

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25 mai 2010 2 25 /05 /mai /2010 07:36

Vicious circleVICIOUS CIRCLE de Linda Robertson

Ed Juno

Pages : 375

Version originale : anglais

Format poche

Genre : fantasy urbaine

 


J'ai peiné à le finir celui-là et si ce n'était pas pour le challenge Lire en vo j'aurai laissé tombé.Et pourtant ça commençait plutôt bien. Persephone Alcmedi est une sorcière qui lit les tarots et écrit quelques articles pour un journal mais cela n'aide pas franchement à payer les factures. Elle a donc un autre travail : s'occuper des loups-garous pendant la période de leur transformation en veillant à ce qu'ils soient bien enfermé dans leurs cages. Mais sorcières et loups garous ne sont pas sensés se fréquenter. Elle reçoit un jour une proposition de travail curieux : retrouver et tuer l'assassin d'une loup-garou qui était son amie et mère d'une petite fille. Sauf que Goliath le dit assassin est un vampire. Et ça ce n'était pas prévu dans le contrat.

 

Bon, à la limite ça aurait pu fonctionner si l'ennui n'était pas venu s'installer pendant ma lecture. Aprtès tout Persephone est une fan absolue de l'univers arthurien collectionne les livres, films, et objets en rapport avec le mythe et fantasme grave sur Arthur ce qui la rend plutôt sympathique. Elle prend soin de sa grand mère Demeter virée de sa maison de retraite et vu l'excentricité de celle-ci elle a bien du mérite. Un loup-garou très séduisant aimerait bien l'amener avec lui sur sa moto et plus si affinité. Bref malgré tous ces éléments et d'autres, ça traine et n'avance pas des masses. Au final, rien de bien passionnant donc.

 

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Et hop c'est le 12ème (le big challenge est bouclé) pour le défi


 

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7 décembre 2009 1 07 /12 /décembre /2009 07:28
PHILOSOPHIE EN SERIES de Thibaut DE SAINT MAURICE
Ed Ellipses
Pages : 167
Grand Format
Genre : essai (philosophie)

Vous qui aimez regarder les séries télé, vous qui allez bientôt passer votre bac et hésitez entre un épisode de votre série préférée ou réviser votre philo, n'hésitez plus : faites les deux. J'ai la justification imparable qui vous permettra en toute bonne conscience de vous vautrer devant votre télé. Vous n'êtes pas en train de vous divertir, vous faites de la philosophie.

Ce livre présente des concepts philosophiques en s'aidant pour l'exemple de séries telles que Docteur House pour  La raison et le réel, la vérité, ou Desperate Housewives :pour Le bonheur, Dexter  pour La justice, Nip/Tuck pour la matière et l'esprit, Six feet Under pour l'existence et le temps, The soprano  pour l'inconscient etc...C'est instructif et facilement compréhensible même avec un bagage mince. Après la lecture, rien ne vous empêche de passer à la pratique en vous refaisant l'intégrale de votre série préférée. Et si quelqu'un trouve à redire en vous retrouvant hypnotisé par votre écran de télé, vous pouvez toujours lui dire que non vous ne regardez pas une série, vous prenez un cours de philo nuance ! 


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1 mai 2009 5 01 /05 /mai /2009 00:00

L'INSTINCT D'INEZ de Carlos FUENTES
Ed Gallimard
Pages : 195
Trad (espagnol, Mexique) : Céline Zins
Grand format
Genre : Littérature mexicaine

Blogoclub : lecture de mai

Gabriel Atlan-Ferrara, célèbre chef d'orchestre français rencontre Inez Prada une cantatrice mexicaine lors des répétition de La damnation de Faust de Berlioz...

J'avais raté la précédente participation à la lecture commune et me sentant un peu coupable de négligence, j'ai donc décidé de lire coûte que coûte celle du mois de mai. Je ne connaissais pas du tout l'auteur et c'était là l'occasion de le découvrir. Cette occasion, s'est révélée décevante. Après avoir vainement tenté de m'accrocher à ce que je pouvais dans le récit, je ne peux que faire un constat : je n'ai pas aimé L'instinct d'Inez. J'ai sauté des pages espérant trouver le petit truc qui me ferait continuer mais ce ne fut pas une réussite.

Je ne peux que vous suggérer d'aller voir ce qu'en ont pensé les autres participants pour vous faire une opinion plus consistante. Quant à moi, je garde sous le coude le nom de l'auteur et referai une tentative avec un autre de ses titres. On ne sait jamais, celui-ci n'était peut-être pas le bon pour moi.


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2 décembre 2008 2 02 /12 /décembre /2008 05:32
LES DIEUX DE CLUNY de François DARNAUDET
Ed Nestiveqnen/331p




Précédé du Le fantôme d'Orsay, Les dieux de Cluny racontent deux histoires distinctes qui se suivent dans le temps et avec les mêmes personnages. Dans Le fantôme d'Orsay Eric Bernadi qui prépare une thèse sur Delacroix travaille comme guide sur un bateau mouche à Paris et comme vigile au musée d'Orsay pour le compte d'une société privée. Or une nuit, l'un des gardiens du musée est assassiné de manière particulièrement atroce et des phénomènes étranges commencent à se produire dans le musée. Dans Les Dieux de Cluny, on retrouve Eric Bernadi quelques mois plus tard à Bruxelle tandis qu'un cadavre mutilé est retrouvé dans les thermes de Cluny. C'est alors qu'intervient la mystérieuse confrérie des gardiens des fissures dans la vie d'Eric.



Alors que j'avais été très enthousiaste sur Le papyrus de Venise, je voulais quand même connaître un peu mieux cette organisation un peu spéciale que sont les gardiens et qui était décrite dans Les dieux de Cluny. Et ce ne fut pas particulièrement le coup de foudre. Si avec Le fantôme d'Orsay et la légende du petit homme rouge j'arrivais encore à m'intéresser au récit, sa suite Les dieux de Cluny avec le réveil des anciens dieux gaulois qui sèment des cadavres un peu partout dans Paris, j'ai eu du mal à finir la lecture vu l'ennui que j'ai ressenti tout du long. Personnages un peu succints, pas assez fouillés, récits un peu trop prévisibles par moment, même pas une écriture qui accroche, finalement, je vais me contenter de rester sur la bonne impression du Papyrus de Venise et oublier ce livre ci.

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5 septembre 2008 5 05 /09 /septembre /2008 00:00
LE VAMPIRE DE CURITIBA de Dalton TREVISAN
Ed Métailié/157p
Trad (portugais, Brésil) : G. Leibrich et N.Biros


Il était précisé « humour » dans le quatrième de couverture. Je le cherche encore. C'est glauque, avec des personnages pas sympathique du tout, ce n'est même pas intéressant. Bref, je dois encore être passé à côté de la grande et profonde signification de ces petits textes alignant les mésaventures sexuelles de pathétiques individus qui apparemment n'ont pas d'autres intérêt que ça. Encore un un chef d'oeuvre impérissable donc qui va partir aux oubliettes. Je ne m'étendrai pas davantage cela n'en vaut pas la peine.

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3 septembre 2008 3 03 /09 /septembre /2008 00:00
LE LECTEUR de Pascal QUIGNARD
Ed Gallimard/147p


C'est bien parce que je n'avais pas la motivation nécessaire pour me trouver un autre auteur abc pour cette lettre que je suis allée jusqu'au bout de ce livre. Enfin, j'ai quand même sauter quelques pages dans l'espoir que peut-être plus loin dans ma lecture, un vague passage éveille un quelconque intérêt chez moi. Difficile d'en dire quoi que ce soit de ceci, mise à part sa capacité étonnante à presque m'endormir. Je cherche encore à savoir si on a éditer ce texte sur le seul nom de l'auteur ou si j'ai honteusement manqué quelque chose à la lecture du fait d'd'une déficience en culture ou en intelligence poussée voire les deux. Pour un premier essai avec cet auteur, je suis probablement mal tombée. Je tenterai autre chose plus tard quand la déception sera passée. En attendant, la section oubliettes sera ravie de l'accueillir.Il est évident que je ne vous conseille pas ce livre. D'ailleurs si vous êtes intéressés par un ouvrage sur la lecture je vous conseille Une histoire de la lecture d'Alberto Manguel passionnant et très instructif.

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