Journée pénible de travail hier. Une gestion des rendez vous frisant le délire et un planning surchargé. Résultats : des patients pas contents d’attendre et d’attendre avant de pouvoir passer leurs examens et qui vous le font savoir et moi qui aie finit plus tard que prévu ma journée et légèrement sur les rotules. Mes collègues chargées des rendez vous je les aime bien. Elles sont sympas, me font bien rigoler de temps en temps mais dans des journées comme celle ci, vous n’avez qu’une envie, les pulvériser.

J’ai donc décidé de faire un truc que je n’avais encore jamais fait. Jusqu’à présent je suis mon cahier des charges nano scrupuleusement, un chapitre après l’autre, malheureusement celui du jour était plus un chapitre d’introspection qu’un bon défouloir comme j’avais besoin alors j’ai ouvert une page word exprès pour m’avancer sur un des tous derniers chapitres qui selon toute vraisemblance sera apocalyptique. Et j’ai donc eu le plaisir d’y coller mes trois énervantes collègues dans le rôle de domestiques du palais victimes par dommages collatéraux de la bataille finale. L’une a donc fini carbonisé par un vraidragon en colère et les deux autres ont été écrasées par les quatre étages du bâtiment dont elles occupaient le rez-de-chaussée quand il s’est effondré sur lui-même. Aucune chance de s’en sortir. Et je me suis sentie beaucoup mieux et moins en colère.

A part ça, je ne suis pas mécontente de l’avancée des travaux.