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A Propos De

  • : A Livre Ouvert...
  • : Des lectures en tout genres, des auteurs, des avis subjectifs totalement assumés, un prix chimérique, des challenges auxquels je ne peux résister, des swaps et pleins d'autres choses sympas. Il y a de tout dans ma bibliothèque. Bienvenue et bonne visite alivreouvert@hotmail.fr
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6 septembre 2006 3 06 /09 /septembre /2006 00:19
LE RETOUR AU TRAVAIL
 
Comme les écoliers, j’ai fait ma rentrée, comprenez que je suis retournée plein d’entrain au travail. Ma petite routine va connaître pas mal de changement. Un nouvel associé, ferait son apparition courant octobre et les plannings sont révisés en conséquence. Enfin quand je dis plannings vu que mes patrons ne sont pas d’accords entre eux sur la répartition des jours de travail des uns et des autres, on assiste à un vrai travail de jonglage de la part de la réception. Et oui difficile, de fixer des rendez-vous quand une fois je suis présent tel jour et la seconde suivante c’est le contraire.
 
MES QUESTIONS LIVRESQUES EXISTENTIELLES
 
Tout cela n’est rien face au douloureux dilemme qui me travaille et qui se résume à un choix à faire : ma pal ou la bibliothèque ? D’un côté ce ne serait pas plus mal que je me consacre à cette pile et de l’autre je meurs d’envie de savoir, quelles sont les nouveautés arrivées en bibliothèque. Et autre question existentielle : Est ce que j’arriverai à résister à la tentation des librairies ? Parce que j’ai repéré deux trois livres là qui me tentent bien. Triste constat : la vie d’une toxicolectrice n’est pas toujours facile.
 
LA TOURNEE DES BLOGS
 
Le retour, c’est aussi revenir parcourir mes blogs préférés que j’avais un peu délaissés. Et voilà, il suffit que je m’absente quelques temps et pleins de trucs intéressants sur lesquels j’ai envie de réagir apparaissent au fil des blogs des, uns et des autres. Je commence tout juste à tenter de récupérer mon retard en la matière. Une seule solution pour que je ne sois pas totalement perdue : Arrêter de publier pendant mes vacances enfin ! C’est une question de bon sens voyons..
 
 
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5 septembre 2006 2 05 /09 /septembre /2006 00:22
LE DERNIER VŒU Andrzej SAPKOWSKI
Ed Pocket/415p
Trad (polonais) : Laurence Dyevre
 
Geralt de Riv est un sorceleur, une sorte de tueur de monstre à gages. A la fois créature magique et humain il parcourt le monde en gagnant sa vie comme il peut  en débarrassant qui le paye des monstres sanguinaires. Mais son désir le plus cher est de retrouver sa part d'humanité perdue.
 
Une habile réutilisation des contes de fées dans un contexte et une ambiance très différents. On y trouve une version de la Belle et la Bête, de Blanche Neige, de Hans le hérisson et d'autres. Bien entendu les personnages et les situations sont détournés et c'est parfois très drôle le décalage qui existe entre les contes et le monde réaliste dans lequel vivent ces personnages. En réalité le personnage qui a inspiré Blanche Neige, est une dangereuse criminelle qui s'est acoquinée avec sept gnomes pour tuer et dépouiller les honnêtes gens entre autre (son équipée relève de la grande saga). Mais ces contes sont avant tout une toile de fond pour nous présenter Geralt le sorceleur, son métier, ce qu'il est, ses talents, ses amis, ses rêves et son destin pas forcément  heureux. Les différentes histoires mettent une facette du personnage en lumière. Bien que Le dernier voeu fasse partie d'un cycle non traduit à ce jour, il peut se lire comme une histoire complète. A découvrir.
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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 00:03
Tremblez pauvres mortels….le retour de la vengeance du blog A Livre Ouvert bientôt sur vos écrans.. hum, pardon, je m’égare. Je disais donc, après quelques semaines de farniente totale, je suis de nouveau opérationnelle pour reprendre mes petites activités de blogueuse, et forumeuse et accessoirement de travailleuse.
 
C’est la rentrée donc l’heure des bilans
 
Côté moi : Le bilan vacances est dans l’ensemble plutôt positif, j’ai eu du soleil entre deux nuages et trois averses de temps en temps mais j’ai aussi pris le temps de ne rien faire, de lire, de battre mes records au scrabble, et de perdre des kilos en prime. Bref, je suis censée être en super forme et attendre avec enthousiasme la reprise du travail, c’est à dire aujourd’hui même.
 
Coté lecture : Dans l’ensemble que du bon avec d’excellentes surprises même. J’ai lu un peu de tout dans tous les genres.
 
Niveau polars :
Chasse au loup d’Armand Cabasson, ma foi ça confirme ma bonne opinion de la série dont j’ai déjà lu Les proies de l’officier.
L’énigme des Blancs-Manteaux de Jean-François Parot, premier tome d’une série qui s’annonce de bonne facture. J’avais hésité à lire cette série et en fait je n’aurai pas dû m’en faire parce que c’est bien, c’est même très bien, vivement la suite tient.
 
Niveau fantasy :
Je me suis fait plaisir, et bien plaisir que des trucs vraiment bien. Alors première bonne surprise, un livre qui traînait dans ma pal depuis euh…un an ? Le dernier vœux d’Andrzej Sapkowski, je n’ai pas fait de faute au nom de l’auteur, il est polonais mais alors quel plaisir de découvrir les variantes savoureuses des contes de fées de mon enfance (bon ce n’est pas vraiment le fond de l’histoire). J’ai eu droit à la plus délirante version de Blanche Neige depuis celle écrite par Günter Grass dans La rate et celle-là était déjà bien déjantée. Bon il n’y a pas que Blanche-Neige dedans mais je vais vous en reparler alors patience
L’autre très bonne surprise même que je suis totalement accro, c’est une série qui n’est même pas fini : Le royaume de Tobin de Lynn Flewelling à la hauteur de L’assassin royal dans la psychologie des personnages et pour tout le reste d’ailleurs.
Féerie pour les ténèbres, alors ça, je n’en suis toujours pas revenue, ça m’a tellement marquée et emballée que ce titre va faire l’objet d’une rubrique toute nouvelle.
 
Niveau sf :
L’oiseau d’Amérique de Walter Tevis était aussi dans ma pal depuis euh probablement aussi longtemps que Le dernier vœux. Bonne appréciation, l’idée générale est bien trouvée et franchement dès qu’il est question d’amour de la lecture hein…
 
Le reste :
L’homme qui entendait siffler une bouilloire de Michel Tremblay, un autre bon opus de mon auteur fétiche.
L’épopée du buveur d’eau de John Irving, mon premier Irving, et dans l’ensemble c’était bien.
La vierge froide et autres racontars de Jorn Riel, même que je vais en lire d’autres de lui
L’idiot de Dostoïevski qui termine donc le thème littérature russe du club de lecture. 
Humains aigres-doux de Suzanne Myre, des nouvelles que je dois à Cuné merci, ce fut une belle lecture.
 
Côté blog :
Rien de tel qu’un peu de recul pour vous donner envie de changer des choses dans l’appart, la penderie et même son blog. Donc vous avez probablement constaté un peu de changement dans la forme et d’autres trucs sont en préparation dans mon cerveau. J’ai fait la liste des trucs qui me gênent et autres :
- Mise à jour des liens
- Préparation de quelques petites rubriques que je suis impatiente de mettre en place.
- Le jeudi du polar ça commence à m’ennuyer un peu comme formule alors je vais réfléchir à autre chose pour parler du genre sous un autre angle.
 
Et puis la rentrée c’est bien parce qu’au milieu des factures j’ai trouvé un beau paquet avec un beau cadeau à l’intérieur. Merci Cuné, je mets le livre en haut de ma Pal. Je suis super contente ça me fait comme un Noël avant l’heure.
 
Fin du blabla pour l’instant …
 
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4 septembre 2006 1 04 /09 /septembre /2006 00:00
L'IDIOT de F.M DOSTOIEVSKI
Ed Club Géant Classique/505p
Trad : Nicolas Poltavtzev
 
Revenu en Russie après un long séjour en suisse où il était soigné pour maladie nerveuse, le prince Lev Nikolaievitch Mychkine considéré comme idiot devient le centre de toute une séries d'évènements et d'intrigues.
 
L'auteur use du procédé classique de l'arrivée d'un élément étranger dans un milieu fermé qui sert de révélateur sur les moeurs de cette micro société où le moindre geste, mot ou silence est analysé et alimentent les spéculations, calculs et intrigues de tout un chacun. Autour du naïf prince Mychkine se trament des complots dont il devient bénéficiaire ou non selon les humeurs de la  bonne société qui fait et défait les réputations. Il y a quelque chose de fascinant dans l'art que possède l'auteur à engluer ses personnages dans des conflits familiaux et personnels sans qu'aucun d'entre eux ne puisse échapper à la spirale infernale d'une forme de névrose pathologique dont ils souffrent tous à des degrés divers. Même le prince Mychkine n'échappera pas à cet état de fait.
 
Pour avoir lu quelques ouvrages de René Girard, qui a un système de pensée auquel on adhère ou non mais qui est très intéressant dans l'analyse de l'oeuvre d'auteurs classiques et notamment Dostoïevski, j'ai constaté qu'effectivement en y appliquant ses théories (personnelles), certains aspects du roman sont réellement significatifs. Donc si vous avez l'occasion de jeter un coup d'oeil sur Mensonges romantiques et vérités romanesques, de René Girard, faites le vous découvrirez un aspect intéressant dans l'analyse dostoievskienne entre autres.
 
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16 août 2006 3 16 /08 /août /2006 03:40
Et oui c’est mon tour enfin. Les valises sont bouclées, et le départ est imminent. Néanmoins je ne vous abandonne pas pour toujours et reviendrai chargée de nouveaux articles sur des lectures enthousiasmantes ou navrantes c’est selon. Ce n’est donc qu’un au revoir et à dans trois semaines….
 
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14 août 2006 1 14 /08 /août /2006 13:00
84 CHARING CROSS ROAD d'Helen HANFF
Ed Le Livre de Poche/152p
Trad : Marie Anne de Kisch 
De 1949 à 1969 la correspondance échangée entre Helen Hanff (New York) et la librairie Marks&Co. du 84 Charing Cross Road à Londres.
 
 Avis mitigé en ce qui me concerne. J’en avais beaucoup entendu parlé en bien et en définitive je n’ai pas sauté au plafond en criant au génie. Cependant, ce livre n’est pas pénible à lire loin de là.  J'ai aimé les réflexions de l'auteur sur son rapport aux livres en tant que beaux objets mais je n'ai pas été touchée plus que ça par les échanges amicaux entre elle et le personnel de cette librairie. L'idée m'a même traversé l'esprit que ledit personnel passait un peu la pommade afin d'obtenir un peu plus de denrées dans les colis envoyés par cette cliente si généreuse de New York (oui mon côté cynique a été pas mal interpellé à la lecture). Maintenant certains échanges sont parfois touchants mais bon, je ne considère pas avoir lu un chef-d’oeuvre. C'est une lecture satisfaisante et sympathique sans plus.
 
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13 août 2006 7 13 /08 /août /2006 10:24
UN JOUR EN MARS de Peder HOVE
Ed Gaïa/222p
Trad (danois) : Laurence W.O. Larsen
 
Mars 1945, à Copenhague, la Gestapo a son siège dans un ancien immeuble de la compagnie Shell et menace sérieusement l'organisation de la résistance danoise par l'arrestation et les interrogatoires d'un certain nombre de ses chefs. Un raid aérien  allié est alors envisagé pour détruire cet immeuble.
 
C'est en suivant avant, pendant et après le raid que nous découvrons l'histoire. L'auteur a choisi de focaliser l'attention du lecteur sur trois points : les pilotes, la population civile (les enfants) et les occupants de l'immeuble Shell (Allemands et prisonniers) et de décrire leurs actions minute par minute durant l'attaque. Il s'agit de donner un compte rendu d'un événement réel donc pas d'effet de style, de dialogue créé pour l'occasion seulement les faits, rien que les faits. Le résultat c'est que l'on est dedans, dans les bombardiers et chasseurs, dans l'Ecole Française de Copenhague, dans l'immeuble Shell et que la tension monte et l'angoisse aussi. L'auteur étant lui-même un ancien pilote de chasse, les détails techniques sont bien rendus et donnent une crédibilité supplémentaire à l'histoire. Ancien militaire il a le mérite de ne pas passer sous silence les dommages autour de la cible et qui se solderont par l'incendie d'une école et la mort d'une centaine d'enfants entre autre.
 
La Royal Air Force avait détaché une cinquantaine d'hommes pour conduire l'offensive sur l'immeuble Shell, neuf d'entre eux périrent. Ceci est mon récit de l'histoire de ces aviateurs. La leur avant tout mais aussi celles de ceux dont les vies et les destinées furent transformées au cours des quatre minutes qui séparaient 11h15 de 11h19 ce mercredi 21 mars 1945. (extrait)
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12 août 2006 6 12 /08 /août /2006 08:38
MARCHE OU CREVE
de Richard BACHMAN alias Stephen KING
Ed Le Livre de Poche/379
Trad : France-Marie Watkins
 
Il s’agissait donc pour les blogoteuses voulant participer de lire un même livre et de délivrer son impression de lecture le même jour soit aujourd’hui. Alors qui a joué le jeu ? Moi je l’ai fait et en plus ça tombait bien, je ne l’avais pas lu celui là. 
 
 
L’histoire est simple : La longue marche est une épreuve qui se déroule chaque année et chaque année, il y a un gagnant qui reste en vie, les autres participants sont éliminés à coup de fusil ou meurent d’épuisement. Cette Longue marche est mise en place par un régime militaire mené d’une main de fer par Le Colonel (dont on ne connaîtra pas le nom). Il s’agit de marcher sans s’arrêter jusqu’à l’élimination de tous les candidats sauf d’un. A partir de là, on fait donc connaissance avec Garraty le héros et de quelques personnages qui vont l’accompagner sur la route.
 
La tension monte tout au long de la lecture car on s’attache forcément à aux personnages qui sont tous susceptibles de mourir abattu, sans compter que des amitiés se nouent au cours du périple et qu’on aimerait bien que cela finisse bien pour pas mal de monde. Ce récit met quand même en lumière, le comportement voyeuriste limite malsain de la population avide de voir la mort en direct. Est ce une critique de cette télé réalité qui veut toujours en montrer plus pour satisfaire le goût du sensationnalisme des téléspectateurs au mépris de la dignité ? On peut également réfléchir sur les dictatures militaires. Et si tout cela était déjà pour demain ? Ce livre est plutôt bien accrocheur mais mon seul regret c’est que le héros ne m’a pas beaucoup intéressée, j’avais une préférence pour son copain McVries.
 
Et à ce sujet petite anecdote personnelle : le personnage de Peter McVries n’a pas cessé de m’interpellé. Son nom me disait quelque chose et ça m’a travaillé pendant toute la lecture et après. Et puis en pleine nuit alors que je continuais à me dire que ce nom résonnait familièrement dans mon cerveau, j’ai eu le flash. Direction ma bibliothèque vers mon livre sf référence : Dune et………………………oui ! Piter DeVries l’infâme mentat tordu de la maison Harkonnen, me disait bien aussi. Bon la version McVries est quand même plus sympa faut reconnaître. Aucun rapport avec ce qui précède, juste une similitude entre deux noms de personnages. Et toujours rien à voir, c'est quoi le prochain sur la liste ?
 
Les blogoteuses qui ont joué le jeu
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10 août 2006 4 10 /08 /août /2006 08:02
LE LOUP DANS LA BERGERIE
de Gunnar STAALESEN
ed Folio/318 p
Trad : Olivier Gouchet
 
Varg Veum après avoir travaillé à La protection de l'enfance de la ville de Bergen en Norvège s'est reconverti en détective privé. Mais un détective privé qui voit s'accumuler facture sur facture sur son bureau et son compte en banque se dissoudre au fur et à mesure que la pile augmente, aussi ne pose t'il pas trop de question quand il est engagé pour une filature. Le problème s'est lorsque la femme que vous devez suivre pour le compte d'un client est retrouvée assassinée.
 
J'aime bien les polars scandinaves, ils sont surprenants et prennent souvent le contre-pied des clichés répandus sur les pays du nord. Celui-ci ne fait pas exception à la règle avec en prime un humour assez cynique qui convient bien au personnage principal qui tente de surnager comme il peut et c'est pas gagné. L'intrigue est bien travaillée et l'assassin bien caché. Bref, le premier tome d'une série qui s'avère suffisamment bon pour donner envie de poursuivre.
 
POUR LE MEILLEUR ET POUR LE PIRE
 de Gunnar STAALESEN
Ed Folio/418p
Trad : Elisabeth Tangent et Alexis Fouillet
 
Varg Veum, voit débarquer dans son bureau, un client singulier : un garçon de 8 ans qui voudrait engager le détective pour récupérer son vélo. Et c'est le début d'une sombre affaire de meurtre.
 
L'histoire prend du temps à démarrer, beaucoup de temps et ça n'aide pas beaucoup à entrer dans le livre. Cela dit l'ambiance lourde est très bien rendu. C'est peut-être l'humour en moins qui fait que j'ai moins accroché. Mais le personnage de Veum qui se trimballe sa déprime et son cynisme percutant continue d'accrocher et finalement faudrait peut-être voir sur un autre roman de la série.
 
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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 08:11
DE L'ART DE CONDUIRE SA MACHINE
de Steven CARROLL
Ed Phebus/232p
Trad : Philippe Gerval
 
En Australie, dans les années 50 un couple et leur enfant se rendent à une fête de fiançailles. Vic est conducteur de locomotive et boit trop, Rita en a assez de son mariage, Michael voudrait bien être une famille comme les autres. Un accident de train va tout bouleverser.
Il peut s'en passer des choses dans une soirée...du moment où tout le monde est sont en marche vers la fête et jusqu'au retour, le monde aura changé. Entre-temps, on aura fait connaissance avec Vic, Rita et Michael et de ce qui se passe dans leur tête pendant tout ce temps mais aussi de leurs voisins et de ce qu'il y a dans la leur de tête. Lentement, mais sûrement, l'auteur nous entraîne dans la monotonie d'une vie de banlieue, dans les déceptions du mariage et les espoirs de l'enfance. Tout en non dit, on y trouve un couple qui se déchire sous les yeux de leur enfant, une fiancée qui regrette son engagement, une femme seule qui s'ennuie, un amant éconduit...et pour eux aussi la vie leur réserve des surprises. L'auteur décortique un instant dans la vie de ses personnages, un intervalle qui tel un maître du destin va changer les choses radicalement pour certains d'entre eux.
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